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L HOMME EST PARTOUT
L'homme est partout. L'humain en tout, Caché.
Il faut se promener au milieu d'un jardin, d'humains, pour trouver ce qui est tu ; s'approcher pour voir la face cachée des gens et des choses.
Ces faces parlent.
De la difficulté d'être en vie, de la quête de l'homme, de sa complexité, de la profondeur de ses sentiments. De la beauté du monde en marche.
Vieux métaux, bois rejetés, marbres, pierres, résidus de vie tout est recyclé, mis en valeur, détourné, revisité.
En arrivant, je suis happée par ''la Création'' qui jette ses idées à partir de l'Être formant une mappemonde en mouvement, légère, transparente et cependant ancrée au sol.
Plus loin, des squelettes de poissons tournent inlassablement autour d'une poutre- totem en une danse abyssale.
A l'abri d'un bosquet, un ''Petit Prince'' alangui, rafraichi par la brise matinale, écoute un sextuor de têtes en conciliabule.
Les rencontres sont là. Il suffit de regarder.
Dans ce fatras de créations, l' Homme est partout, l' Humain en tout.
Dans la trompette bouchée par un homme ligoté,
Dans le vélo transformé en un Icare brûlé,
Dans les bandelettes mortuaires des vanités,
Tout nous rappelle que l'Homme est mortel.
Même le crâne d'argile de la ''Nostalgie'' décortique l'Être. Deux demi faces, Janus par le travers.
Coté droit, ce qui est visible de l'homme, bouche ouverte, œil fermé. Il dit, ne regarde que ce qu'il veut et ne laisse rien voir.
Coté gauche, l'écorché ne peut cacher ce qu'il est : une structure qui laisse échapper de son crâne un foisonnement de connexions, que nul ne peut voir mais qui le relient au monde.
L'Homme est partout... Il y a tant à voir dans cet univers de l'Homme debout, toujours en équilibre, en marche vers...
… Le temps
me rattrape...
Marianne Ferrero le 27 Février 2010
L'homme est partout. L'humain en tout, Caché.
Il faut se promener au milieu d'un jardin, d'humains, pour trouver ce qui est tu ; s'approcher pour voir la face cachée des gens et des choses.
Ces faces parlent.
De la difficulté d'être en vie, de la quête de l'homme, de sa complexité, de la profondeur de ses sentiments. De la beauté du monde en marche.
Vieux métaux, bois rejetés, marbres, pierres, résidus de vie tout est recyclé, mis en valeur, détourné, revisité.
En arrivant, je suis happée par ''la Création'' qui jette ses idées à partir de l'Être formant une mappemonde en mouvement, légère, transparente et cependant ancrée au sol.
Plus loin, des squelettes de poissons tournent inlassablement autour d'une poutre- totem en une danse abyssale.
A l'abri d'un bosquet, un ''Petit Prince'' alangui, rafraichi par la brise matinale, écoute un sextuor de têtes en conciliabule.
Les rencontres sont là. Il suffit de regarder.
Dans ce fatras de créations, l' Homme est partout, l' Humain en tout.
Dans la trompette bouchée par un homme ligoté,
Dans le vélo transformé en un Icare brûlé,
Dans les bandelettes mortuaires des vanités,
Tout nous rappelle que l'Homme est mortel.
Même le crâne d'argile de la ''Nostalgie'' décortique l'Être. Deux demi faces, Janus par le travers.
Coté droit, ce qui est visible de l'homme, bouche ouverte, œil fermé. Il dit, ne regarde que ce qu'il veut et ne laisse rien voir.
Coté gauche, l'écorché ne peut cacher ce qu'il est : une structure qui laisse échapper de son crâne un foisonnement de connexions, que nul ne peut voir mais qui le relient au monde.
L'Homme est partout... Il y a tant à voir dans cet univers de l'Homme debout, toujours en équilibre, en marche vers...
… Le temps
me rattrape...
Marianne Ferrero le 27 Février 2010