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« L’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive ; il coule, et nous passons … »
Un promeneur solitaire posé, massif mais transparent qui laisse percevoir le lac et la montagne à son travers. Un homme lourd mais aérien, fait de multiples facettes comme tout être.
Vanité de l’homme face à ce spectacle naturel intemporel, corrodé par le temps qui s’écoule il se délite et devient peu à peu transparent pour les autres.
Le carcan de la surface imposée en regard de l’immensité est contourné par la transparence du métal déchiré qui permet au regard de s’évader à travers lui et par là- même de faire siennes ses pensées.
Ces perforations dans le métal, véritables déchirures, à la fois plaies et fenêtres sur l’extérieur, cicatrices et sources de lumière, laissent le soleil jouer avec les ombres suivant l’heure du jour.
L’inexorabilité du temps qui passe face à l’immobilité contemplative sera suggérée par le travail invisible des éléments naturels qui rongent insidieusement et inéluctablement le métal.
L’Homme est ainsi fait de lambeaux de métaux neufs ou récupérés et sauvés d’un oubli définitif, véritable patchwork de pièces d’origines diverses évoquant les traits multiples de chaque être, Babel de métal cosmopolite au devenir universel.
Contemplation, immensité, nature, éléments, éternité, immobilité, calme et volupté là aussi …
Vernissage à Montreux (suisse ) le 5 juillet
Un promeneur solitaire posé, massif mais transparent qui laisse percevoir le lac et la montagne à son travers. Un homme lourd mais aérien, fait de multiples facettes comme tout être.
Vanité de l’homme face à ce spectacle naturel intemporel, corrodé par le temps qui s’écoule il se délite et devient peu à peu transparent pour les autres.
Le carcan de la surface imposée en regard de l’immensité est contourné par la transparence du métal déchiré qui permet au regard de s’évader à travers lui et par là- même de faire siennes ses pensées.
Ces perforations dans le métal, véritables déchirures, à la fois plaies et fenêtres sur l’extérieur, cicatrices et sources de lumière, laissent le soleil jouer avec les ombres suivant l’heure du jour.
L’inexorabilité du temps qui passe face à l’immobilité contemplative sera suggérée par le travail invisible des éléments naturels qui rongent insidieusement et inéluctablement le métal.
L’Homme est ainsi fait de lambeaux de métaux neufs ou récupérés et sauvés d’un oubli définitif, véritable patchwork de pièces d’origines diverses évoquant les traits multiples de chaque être, Babel de métal cosmopolite au devenir universel.
Contemplation, immensité, nature, éléments, éternité, immobilité, calme et volupté là aussi …
Vernissage à Montreux (suisse ) le 5 juillet